De façon passablement imprévue, je serai impliqué à l’automne prochain dans deux nouvelles productions théâtrales.
I. Insuline et magnolia, tel sera le titre de la nouvelle création de Stanislas Roquette. Lire la suite
De façon passablement imprévue, je serai impliqué à l’automne prochain dans deux nouvelles productions théâtrales.
I. Insuline et magnolia, tel sera le titre de la nouvelle création de Stanislas Roquette. Lire la suite
La revue de théâtre Skén&graphie (sous-titrée : « Coulisses des arts du spectacle et des scènes émergentes »), consacre dans son numéro 7 (2021) un dossier de 65 pages à la création du spectacle Aux corps prochains (2015). Lire la suite
L’essai Matthieu fera l’objet d’une rencontre-discussion au Foyer de l’Âme, église protestante unie de Paris-Bastille, le samedi 5 juin à 18h. Lire la suite
La rencontre autour du livre Matthieu, initialement prévue le 23 mars dernier et qui avait dû être reportée en raison de mon état de santé (Covid…) a eu lieu le mercredi 12 mai à 18h15.
Organisée à l’initiative de la Faculté de Théologie de l’Université de Genève, elle a réuni les professeurs Jan Blanc (Histoire de l’art), Andreas Dettwiler (Théologie, Nouveau testament), Elisabeth Parmentier (Théologie pratique), Martin Rueff (Littérature), et moi-même, dont l’échange a été suivi par une discussion ouverte.
La captation vidéo de cette séance est maintenant en accès libre sur la chaîne Youtube de l’éditeur (Labor et Fides) par le lien : https://youtu.be/vccIJS0BLGQ
2. Didier Ayres a publié une recension de Matthieu sur le blog « Le littéraire ». Voici le lien pour y accéder :
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Edition numérique du Monde (du 08 avril 21)
L’essai Matthieu est disponible en librairie depuis le mercredi 3 mars 2021 (Editions Labor et Fides) – ou bien il peut y être commandé, ainsi que sur les sites de vente en ligne.
En voici la présentation en quatrième page de couverture : Lire la suite
Un des comédiens de la pièce Le Printemps (Chateauvallon, 1985) était lié, par une alliance familiale, à Paul Zumthor (1915-1995), philologue et historien de haute renommée internationale, alors professeur à l’Université de Montréal*. C’est ainsi que celui-ci a eu connaissance de l’édition de la pièce, et, semble-t-il d’après le texte ci-dessous, a assisté à une représentation durant l’été 1985.
Je connaissais évidemment Zumthor de réputation, mais je ne me souviens pas d’avoir sollicité sa réaction sur le texte ou le spectacle. Je pense plutôt que l’éditeur Jean-Claude Grosse, ami proche qui participait à la réalisation comme membre du « choeur », a eu l’idée de lui demander une contribution à sa revue Aporie. Le numéro ne me semble pas avoir vu le jour, J.-C. Grosse ayant interrompu la parution pour créer sa maison d’éditions Les Cahiers de l’Egaré.
Une photocopie du tapuscrit a survécu dans mes archives. Le texte honore beaucoup notre travail, et il me semble légitime de l’extraire de l’oubli, en espérant que les ayant-droit de l’auteur n’y verront pas d’inconvénient – d’autant que Zumthor l’avait écrit pour la publication dans cette revue.**
Dans mon esprit, c’est ici un témoignage sur ce moment très particulier de notre histoire, et un hommage à une grande figure d’érudit et d’écrivain.
D.G., 30 janvier 2021.
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* Bernard Cerquiglini écrit de lui dans l’Encyclopaedia Universalis : « Que l’œuvre de Paul Zumthor représente une des plus importantes contributions du XXe siècle à l’étude de la société médiévale, dans ses représentations et ses formes symboliques, dans sa littérature, on n’en saurait douter. »
** Si ce devait être le cas, je leur serais reconnaissant de me le faire savoir, par le formulaire de contact de ce site.
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On peut donc lire le texte en cliquant sur ce lien : P. Zumthor sur Le Printemps.
Le texte de la pièce est en accès libre sur ce site par le lien : Le Printemps.
Ci-dessous, une photocopie de la première page du tapuscrit (qui en compte deux), d’après un document qui est lui-même une photocopie de l’original (que je ne possède pas) :
La patience des textes pour rencontrer tel ou tel lecteur est parfois surprenante. La pièce Scène, écrite en 1997 et créée en 2000 dans une mise en scène de Hervé Loichemol, fait aujourd’hui l’objet d’une recension sensible et fine signée par Didier Ayres sur le site Le Littéraire, que je découvre à cette occasion. Lire la suite
Les représentations du spectacle Qu’est-ce que le temps? Le Livre XI des Confessions d’Augustin, reportées en novembre, et qui devraient reprendre du 15 décembre au 12 janvier, au Studio Hébertot, 78 bis Bd des Batignolles, 75017, ont été annulées à la suite de la décision gouvernementale de report au 7 janvier (au plus tôt) de l’ouverture des théâtres.
Mais nous avons fait de belles répétitions avec Stan Roquette, des modifications musicales fécondes avec Caroline Montier, et commencé certains aménagements techniques avec l’excellente équipe du Studio Hébertot, tout ceci nous ayant donné une grande confiance dans la justesse de ce projet de reprise. Nous espérons donc fermement que ces représentations parisiennes pourront être à nouveau programmées en 2021.
D’ici là, le spectacle doit être donné au Théâtre, Scène Nationale de Saint Nazaire, le mardi 19 janvier, et à la Maison de la Culture d’Amiens, les mardi et mercredi 9 et 10 mars prochains.
En attendant, voici le lien vers la bande-annonce : bande-annonce
et diverses informations sur le spectacle.
A bientôt !
Le volume Avec Denis Guénoun, Hypothèses sur la politique, le théâtre, l’Europe et la philosophie est paru le 4 décembre 2020 aux Editions Metispresses (Genève). Il est donc en librairie, ou peut-être commandé (diffusion en France : Les Belles Lettres). 464 p., 28€.
Avec des textes de Robert Abirached, Romain Bionda, Bernard Bloch, Jean-Baptiste Brenet, Judith Butler, Christophe Chalamet, Danielle Chaperon, Michel Deguy, Thomas Dommange, Olivier Dubouclez, Éric Eigenmann, Marc Escola, Denis Guénoun, Émeline Jouve, Esa Kirkkopelto, Nathalie Kremer, Jean-Louis Jeannelle, Alexis Leprince, Hervé Loichemol, Bénédicte Louvat, Lise Michel, Jean-Luc Nancy, Maria J. Ortega Máñez, Martin Rueff, Stanislas Roquette, Ivan Segré, Patrick Suter et Jérôme Thélot.
(NB : lire l’erratum figurant à la fin de cet article.)
Voici sa présentation par l’éditeur : Lire la suite