On trouvera sur cette page le lien vers le texte de la « déclaration », c’est-à-dire du poème qui constituait la dernière partie du spectacle Aux corps prochains (Sur une pensée de Spinoza), créé au Théâtre National de Chaillot à partir du 3 mai 2015 et joué ensuite au TNP (Villeurbanne), ainsi qu’à la Maison des Arts de Thonon-Evian et à La Passerelle de Saint-Brieuc. Le générique détaillé de ce spectacle peut être consulté sur la page Aux corps prochains.
Le spectacle, qui était une sorte de méditation scénique sur la célèbre phrase de Spinoza, souvent traduite (un peu approximativement) par « Nul ne sait ce que peut un corps », (Ethique, III, 2) avait pris le parti, à la fois paradoxal (compte tenu de son point de départ) et logique (compte tenu de son objet), de se développer pendant l’essentiel de sa durée sans texte parlé. Il y avait à cela deux dérogations importantes : une brève séquence au début, et une assez longue partie (environ un quart d’heure) qui constituait la fin de l’ensemble. Les textes de ces deux moments sont ici publiés en accès libre, et consultables par le lien ci-dessous :