Avec cette publication, commence une nouvelle série de rééditions ou de mises à disposition de textes inédits. En l’occurrence, il s’agit d’Ecrits théoriques de jeunesse, répartis entre 1968 et 1986. Je les communique aux lecteurs et lectrices que cela pourrait intéresser, non pas en pensant que la littérature mondiale attend impatiemment de découvrir ces travaux juvéniles, mais simplement parce qu’ils me paraissent témoigner, parfois de façon significative, d’une époque intellectuelle et morale (des années 60 aux années 80 du XXème siècle).
Cela demande un assez gros travail de transcription et aussi d’éclairage, puisque, selon la règle de ce site, je fais précéder chacune de ces éditions ou rééditions d’une préface écrite aujourd’hui, pour situer le contexte et rappeler, peut-être, les termes de débats dans lesquels ces petits écrits s’inscrivent. Il faudra donc un peu de temps pour que cet ensemble de documents soit rendu acessible.
Voici le premier de ces textes : il s’agit d’un article écrit pour Les Lettres Françaises en avril 1968, qui rend compte du colloque « Littérature et Linguistique », organisé à Cluny les 16 et 17 avril, par La Nouvelle Critique, revue du parti communiste. J’avais moins de vingt-deux ans.
Lien : La rencontre de Cluny