Le volume Avec Denis Guénoun, Hypothèses sur la politique, le théâtre, l’Europe et la philosophie est paru le 4 décembre 2020 aux Editions Metispresses (Genève). Il est donc en librairie, ou peut-être commandé (diffusion en France : Les Belles Lettres). 464 p., 28€.

 

Avec des textes de Robert Abirached, Romain Bionda, Bernard Bloch, Jean-Baptiste Brenet, Judith Butler, Christophe Chalamet, Danielle Chaperon, Michel Deguy, Thomas Dommange, Olivier Dubouclez, Éric Eigenmann, Marc Escola, Denis Guénoun, Émeline Jouve, Esa Kirkkopelto, Nathalie Kremer, Jean-Louis Jeannelle, Alexis Leprince, Hervé Loichemol, Bénédicte Louvat, Lise Michel, Jean-Luc Nancy, Maria J. Ortega Máñez, Martin Rueff, Stanislas Roquette, Ivan Segré, Patrick Suter et Jérôme Thélot.

 

 

(NB : lire l’erratum figurant à la fin de cet article.)

Voici sa présentation par l’éditeur :

NOUVELLE PARUTION : «Avec Denis Guénoun», sous la direction d’Éric Eigenmann, Marc Escola et Martin Rueff
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LE LIVRE :
Denis Guénoun est l’auteur à ce jour d’une quarantaine d’ouvrages et de trois œuvres au moins, si l’on tient à distinguer la théorie dramatique, la spéculation philosophique, politique et théologique, et les écritures théâtrales, que celles-ci aient leur lieu d’abord dans des textes ou directement sur le plateau. Mais faut-il distinguer, et surtout: le peut-on?
Si chacune de ces œuvres a déjà rencontré son audience, et leurs propositions respectives un accueil grandissant, ces différents publics ne s’étaient pas encore trouvés. Le présent volume vient installer lecteurs et spectateurs de Denis Guénoun sur une même scène — celle où la littérature, la philosophie, la politique, la théologie, la morale même acceptent de se soumettre à une inédite distribution pour mieux se donner la réplique.
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LES DIRECTEURS SCIENTIFIQUES:
Éric Eigenmann est professeur de dramaturgie et de littérature française à l’Université de Genève. Son domaine de recherche privilégié se situe à l’intersection entre littérature dramatique et arts du spectacle.
Marc Escola est professeur de littérature française de l’âge classique et de théorie littéraire à l’Université de Lausanne. Il est l’auteur de plusieurs essais sur les rapports entre morale et fiction au tournant des XVIIe et XVIIIe siècles.
Martin Rueff est professeur de littérature française à l’Université de Genève, auteur de plusieurs livres de poésie, d’essais ainsi que traducteur de l’italien.
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coll: voltiges
464 pages
30 CHF / 28 €
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Erratum : 
Comme beaucoup d’autres, ce volume contient quelques coquilles, malgré de nombreuses et attentives relectures par chacun des multiples auteurs. Cependant, l’une de ces erreurs est particulièrement regrettable : en haut de la p. 429, la composition de mon jury d’habilitation à diriger des recherches (Université de Nanterre, 1997) donne Jean-Pierre Sarrazac comme directeur du TNS à l’époque, ce qu’il n’a évidemment jamais été – par malencontreuse interversion avec Jean-Louis Martinelli, qui figure à la ligne précédente (et qui, lui, a bien dirigé le Théâtre National de Strasbourg de 1993 à 2000). J.-P. Sarrazac était alors professeur en études théâtrales à l’Université Paris III – Sorbonne nouvelle. Le jury était composé de Robert Abirached, Etienne Balibar, Jacques Derrida, Philippe Lacoue-Labarthe qui en était le président, Jean-Louis Martinelli et Jean-Pierre Sarrazac.