Deux spectacles auxquels je participe sont programmés dans le Festival d’Avignon.

La pièce Mai, juin, juillet , que j’ai écrite, mise en scène par Christian Schiaretti, interprétée par la troupe du TNP et quelques comédiens invités (Marcel Bozonnet, Julie Brochen, Robin Renucci, Stanislas Roquette, Philippe Vincenot et plusieurs autres) est à l’affiche de l’Opéra-Théâtre les 14,15, 16 et 18, 19 juillet. Durée 3h30. Pour les horaires, se reporter au programme du festival.

Le poème Les Pauvres Gens , de Victor Hugo (dans La Légende des siècles), que je mets en scène avec les régisseurs et chefs machinistes en formation à l’ISTS (Institut Supérieur des Techniques du Spectacle) est annoncé au Gymnase du Lycée Saint Joseph les 24, 25 et 26 juillet à 18h. Durée 40 minutes.

http://www.festival-avignon.com/fr/

33 (0)4 90 14 14 60

 

 

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Nous présentons deux répétitions publiques de notre spectacle Aux corps prochains (Sur une pensée de Spinoza), dont la création est prévue dans un an (mai 2015) au Théâtre National de Chaillot.

Ces deux répétitions auront lieu

les vendredi 13 et samedi 14 juin à 19h

(durée : 2h)

au Carreau du Temple, 4 rue Eugène Spuller 75003 Paris

01 83 81 93 30

http://www.carreaudutemple.eu

info@lecarreaudutemple.eu

avec la participation de l’équipe du spectacle, dont voici la composition :

Aux corps prochains (Sur une pensée de Spinoza)

Conception : Denis Guénoun et Stanislas Roquette

Mise en scène : Denis Guénoun

Chorégraphie : Chrystel Calvet

Interprétation : Alvie Bitemo, Marc Depond, Marie-Cécile Ouakil, Stanislas Roquette, Marc Veh, 

Coordination, vidéo : Charles Habib-Drouot

Scénographie : Philippe Marioge

Costumes : Gwladys Duthil

Conseiller artistique : Dominique Baumard

Lumière : Geneviève Soubirou

Administration : Alice Perot-Hodjis

avec la collaboration de Kenza Jernite, Alexis Leprince, Léonor Guénoun

Une production Artépo, coproduction Théâtre National de Chaillot, Théâtre National Populaire (TNP, Villeurbanne), Maison des Arts de Thonon-Evian, Carreau du Temple (Paris), La Passerelle Saint-Brieuc.

L’ouvrage A Semite (A Memoir of Algeria) vient de paraître à New York (Columbia University Press), avec une préface de Judith Butler. Le livre est la traduction anglaise, par Ann et William Smock, de Un sémite (Ed. Circé, 2003).

Sur la photo de couverture, prise probablement en 1937, les deux personnes vêtues de blanc sont Aldebert René Guenoun (1912-1977) et son épouse Yvonne Emilie née Bensaïd (1911-1982), mes parents.

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Voici l’information publiée par l’éditeur  (http://cup.columbia.edu/book/978-0-231-16402-3/a-semite)

 

A Semite: A Memoir of Algeria

May, 2014
Cloth, 176 pages, 2
ISBN: 978-0-231-16402-3
$35.00 / £24.00

In this vivid memoir, Denis Guénoun excavates his family’s past and progressively fills out a portrait of an imposing, enigmatic father. René Guénoun was a teacher and a pioneer, and his secret support for Algerian independence was just one of the many things he did not discuss with his teenaged son. To be Algerian, pro-independence, a French citizen, a Jew, and a Communist were not, to René’s mind, dissonant allegiances. He believed Jews and Arabs were bound by an authentic fraternity and could only realize a free future together.

René Guénoun called himself a Semite, a word that he felt united Jewish and Arab worlds and best reflected a shared origin. He also believed that Algerians had the same political rights as Frenchmen. Although his Jewish family was rooted in Algeria, he inherited French citizenship and revered the principles of the French Revolution. He taught science in a French lycée in Oran and belonged to the French Communist Party. His steadfast belief in liberty, equality, and fraternity led him into trouble, including prison and exile, yet his failures as an activist never shook his faith in a rational, generous future.

René Guénoun was drafted to defend Vichy France’s colonies in the Middle East during World War II. At the same time, Vichy barred him and his wife from teaching because they were Jewish. When the British conquered Syria, he was sent home to Oran, and in 1943, after the Allies captured Algeria, he joined the Free French Army and fought in Europe. After the war, both parents did their best to reconcile militant unionism and clandestine party activity with the demands of work and family. The Guénouns had little interest in Israel and considered themselves at home in Algeria; yet because he supported Algerian independence, René Guénoun outraged his French neighbors and was expelled from Algeria by the French paramilitary Organisation Armée Secrète. He spent his final years in Marseille. Gracefully weaving together youthful memories with research into his father’s life and times, Denis Guénoun re-creates an Algerian past that proved lovely, intellectually provocative, and dangerous.

 

About the Author

Denis Guénoun is professor emeritus of French literature at the Université Paris-Sorbonne (Paris-IV). A playwright and essayist, he has published numerous books on theater and philosophy, including Actions et acteurs, Livraison et délivrance, and Hypothèses sur l’Europe, which has been published in English as About Europe: Philosophical Hypotheses.

Judith Butler is Maxine Elliot Professor in the Departments of Rhetoric and Comparative Literature and the codirector of the Program of Critical Theory at the University of California, Berkeley.

Ann Smock is professor emeritus of French at the University of California, Berkeley. She has translated two books by Maurice Blanchot and a memoir by Sarah Kofman. Her own most recent work is What Is There to Say?

William Smock, a documentary filmmaker, has translated scholarly articles and a chapter in The Foucault Reader. He is the author/illustrator of The Bauhaus Ideal Then and Now.

Hugo Tempête

Le groupe des régisseurs (lumière et son) et des chefs-machinistes en formation à l’Institut Supérieur des Techniques du Spectacle (ISTS, Avignon) présente Les Pauvres gens, de Victor Hugo, mise en scène D.G.,

le vendredi 16 mai à 20h

le samedi 17 mai à 15h et 20h

à la Chapelle des Pénitents Blancs, Place de la Principale, Avignon.

Durée : 45 minutes. Entrée libre sur invitations, à retirer auprès de l’ISTS

ISTS, Cloître Saint Louis, rue du Portail Bocquier, 84000 Avignon

[T] +33 (0)4 90 14 14 17
ists-info@ists-avignon.com
www.ists-avignon.com

Le spectacle sera donné à nouveau dans le cadre du Festival d’Avignon, au Gymnase Saint-Joseph, les 24, 25 et 26 juillet à 18h.

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Pour le week-end d’ouverture du Carreau du Temple, à Paris (3ème), l’équipe du spectacle Aux corps prochains (Sur une pensée de Spinoza) propose deux répétitions publiques,

les samedi 26 et dimanche 27 avril à 16h

(durée : 1h environ)

au Carreau du Temple, 4 rue Eugène Spuller 75003 Paris

01 83 81 93 30

http://www.carreaudutemple.eu

info@lecarreaudutemple.eu

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(Photo LG)

L’avant-programme du Festival d’Avignon 2014 vient de paraître. On peut le trouver en cliquant ici, ou en pdf icifichier pdf Avignon avant-programme 2014.

J’y suis présent deux fois :

La pièce Mai, juin, juillet (Éd. Les Solitaires Intempestifs) mise en scène par Christian Schiaretti avec la troupe du TNP et plusieurs autres acteurs (dont Marcel Bozonnet, Robin Renucci, Stanislas Roquette), sera donnée à l’Opéra-Théâtre du 14 au 19 juillet.

Mai, juin, juillet de Denis GuénounMise en scène Christian Sch

Le spectacle Les Pauvres gens, que je mets en scène sur le poème de Victor Hugo (dans La Légende des Siècles) avec L’ISTS (Institut Supérieur des Techniques du Spectacle) est présenté au Gymnase Saint-Joseph, du 24 au 26 juillet.

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A bientôt j’espère.

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à l’invitation de Simon Glendinning et du Forum for European Philosophy, j’ai donné une conférence à la LSE (London School of Economics) le 6 mars 2014, sous le titre « Hypotheses on Europe and the Twentieth Century ».

On pourra trouver ci-dessous  le lien pour le podcast de cet exposé et de la discussion qui a suivi.

http://www.lse.ac.uk/newsAndMedia/videoAndAudio/channels/publicLecturesAndEvents/player.aspx?id=2324

 

Le TLS (The Times Literary Supplement, n° du 28 février 2014) consacre, sous la plume de Simon Glendinning, une étude à l’ouvrage About Europe, Philosophical Hypotheses, paru aux éditions Stanford University Press (2013).
Je serai à ce propos, le mercredi 6 mars prochain, l’invité à Londres du Forum for European Philosophy de la LSE (London School of Economics and Political Science, infos ici).

Dans le cadre des journées tenues au Théâtre National de Chaillot les 8 et 9 janvier 2014 (en vue de la préparation du spectacle Aux Corps prochains (Sur une pensée de Spinoza), Paola Marrati, professeure à Johns Hopkins University (USA) a introduit à la réflexion de Deleuze concernant la phrase « Nul ne sait ce que peut un corps ».

La conférence de Paola Marrati n’étant pas rédigée en français, nous proposons la lecture d’un long extrait d’un article, en anglais, concernant la même question. On le trouve ci-contre dans la rubrique « Textes ».

Le texte de la conférence de Thomas Dommange sur la phrase de Spinoza « Nul ne sait ce que peut un corps » (Ethique, III, 2), donnée au Théâtre de Chaillot le 8 janvier dans le cadre de la préparation de notre prochain spectacle Aux Corps prochains, est disponible sur ce site, dans la rubrique Textes (voir colonne de gauche).

http://denisguenoun.unblog.fr/textes-2/conference-thomas-dommange-8-01-14/