Ci-dessous, les entrées du « Journal public », classées en ordre inversé, de la plus récente à la plus ancienne.

Les notes que je publie sur mon site, par exemple dans le « Journal public », ont une diffusion confidentielle. Elle est, à mes yeux, loin d’être négligeable : en temps ordinaire, quinze à vingt visiteurs par jour, sur divers continents. Je trouve que c’est beaucoup : tous les jours. Mais cela reste confidentiel

Pour tenter d’apercevoir une sortie possible de la situation plus que difficile où se trouve aujourd’hui la terre politique (géo-politique), il faut renouer deux liens avec des héritages incontestables. Et pourtant, chacune de ces deux ressources présente aussi, immédiatement, sa figure renversée, retournée, maléfique.

(L’écriture continue.  Journal, Nouvelle série 2025 +). 1P [1] Quelque chose me gêne, je m’en rends compte depuis peu, chez plusieurs de mes amis ou amies dont l’âge est proche du mien – donc vieux. Au début, je n’y voyais qu’une petite manie

Notre source, céleste que ton nom se relève  que ton temps arrive

Le livre de F. Schleiermacher, La foi chrétienne, occupe 840 p. dans son édition française récente [1]. Il est écrit, pour autant que je puisse en juger, dans un style d’une lourdeur toute post-kantienne

1 . L’univers va sa course selon sa stricte légalité interne. Rien n’agit sur lui du dehors. 2 . Cependant,

Bonjour, nal. Quelque chose évolue, ce matin. D’abord, je m’adresse à toi, comme tu peux voir, selon une certaine tradition du genre [1]. Ensuite, cette modification indique que je me rapproche de la tradition du journal intime, et en effet cela va se confirmer ci-dessous. Car je voudrais te faire part de deux sortes de […]

Le site vient d’être remis en route, après une assez longue pause, due à l’achèvement de travaux de longue haleine, dont certains pourraient se voir publiés ici ou là, peut-être dans l’année en cours. J’ai rafraîchi

Il me semble nécessaire, dans la phase où je me trouve, de faire un point. (Parenthèse. Dans ce qui suit, j’emploie beaucoup la forme je, ou ses voisines. Mais tout conduit à interroger cette forme,

Pour la troisième fois, je viens de porter à son terme ce que j’ai longtemps appelé « le chantier ». Troisième fois : la première en 2016-17, la deuxième en 2018 [1] et la troisième aujourd’hui. Ce travail d’écriture, entrepris à la fin de l’année 2008, m’a donc occupé, à ce jour, exactement quinze ans. […]