Baiser
16.04.16 A propos des « Nuits debout », et voulant marquer le fait que les mouvements sociaux ne naissent pas par génération spontanée (au sens où il faut bien que des individus se rapprochent pour en préparer ou en déclencher l’émergence), Frédéric Lordon a récemment déclaré, sur le mode humoristique :