Le site littéraire Fabula accueille et présente ces jours-ci deux de mes récents essais. On pourra les retrouver par le lien : Lire la suite

Certains lecteurs se seront peut-être étonnés de trouver le Journal un peu inactif ces dernières semaines. C’est que j’ai prononcé plusieurs conférences en des lieux divers (Francfort, Ircam, Genève – voir Agenda-), qui m’ont demandé beaucoup de travail et que j’ai tenu à écrire. Elles sont toutes publiées sur ce site, dans la rubrique Ecrits et réflexions, et accessibles dans la colonne d’Actualités. Je continuerai de le faire, dans les prochaines semaines, pour mes interventions à Budapest, à Harvard ou en Sorbonne – sauf si elles ne sont pas rédigées, bien sûr, ou si elles sont appelées à une prochaine publication sur papier en revue ou en livre (la règle ici, on s’en souvient, étant d’éditer les textes inédits ou devenus introuvables).

Dans ce même esprit, je continue à livrer ou à préparer l’édition d’oeuvres littéraires, souvent théâtrales, anciennes ou récentes. Je viens de le faire pour ma version française du Banquet de Platon (2008), qui est en accès libre, comme tous les autres travaux que je rends publics ici – avec une consistante préface originale et inédite. (On pourra se reporter à l’article écrit à ce sujet). J’ai l’intention d’y ajouter bientôt des vidéos de spectacles.

Mais tout ceci, on le comprend, demande du temps, pour que les choses soient faites avec soin, et dans l’idée de la machine d’édition, machine littéraire, dont ce site tente de soutenir le pari. Merci aux habitués, ou aux passants, pour leur visite.

Jean-Baptiste Brenet, d’une stupéfiante clarté, est questionné sur Averroès par Geraldine Mosna-Savoye dans Les Nouveaux Chemins de la connaissance (France-Culture le 29 mars 2016). Lire la suite

Ce vendredi 18 mars, j’ai été invité – par Eric Eigenmann, Marc Escola et Lise Michel – à donner une conférence à l’Université de Genève (journée doctorale de la CUSO). Lire la suite

Le 12 mars 2016, j’ai été invité à l’IRCAM pour participer à une journée de réflexion dans le cadre du séminaire « Hétérophonie(s)? » Lire la suite

Je n’ai peut-être pas assez attiré l’attention sur un élément important qu’on peut trouver sur ce site – mais qui reste sans doute assez discret : les préfaces. Lire la suite

La traduction du dialogue de Platon, Le Banquet, effectuée en 2008 pour un spectacle présenté au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris (CNSAD), avec un groupe d’élèves comédiens de troisième année, est éditée ici pour la première fois. Lire la suite

En vérité, ce nouveau site, tel que je le conçois, est une sorte de machine littéraire, une machine éditoriale.

Bien sûr, il continue de tenir son rôle d’information. Il ne m’est pas indifférent qu’on puisse savoir, d’où qu’on le consulte, quelles seront mes prochaines interventions publiques. J’ai constaté depuis des années cette fonction irremplaçable pour maintenir (ou nouer) le contact avec des amis connus ou inconnus. C’est très précieux, très nécessaire.

Mais deux autres fonctions deviennent centrales. D’une part (machine d’édition), j’ai entrepris de republier ici des ouvrages devenus introuvables. Bientôt seront disponibles, en accès libre, tous les livres qu’on ne peut pas dénicher ou commander dans l’édition papier. Et voilà que s’y associe l’édition originale de textes récents – le tout commençant à faire une bibliothèque non négligeable. Emporté par l’élan, je me fixe comme règle de ne livrer ces écrits au’en y adjoignant une préface, parfois des notes, pour les situer dans leur contexte initial, et m’interroger sur leur portée présente, voire future. S’y joignent maintenant d’autres écrits récents, comme des conférences. Machine d’édition.

Mais aussi machine littéraire, machine à écrire. Car ce site m’amène à reprendre l’ écriture d’un texte qui sans lui n’existerait pas : le « Journal public », où je réfléchis sur des questions qui nous prennent à la gorge. Expérience singulière, étrange – non par son contenu ou sa valeur, dont je n’ai pas à juger, mais par le lien qu’elle noue entre rédaction et publication, comme dans un journal (au sens éditorial du mot), ou comme les « Bloc-notes » qui ont marqué l’écriture dans le siècle. Singulière aussi, par le lien qui s’établit avec des lecteurs, assez nombreux, proches ou très lointains (à tous les sens du mot) qui font connaître leurs réactions, et nourrissent ainsi la pensée. Machine à écrire.

C’est sans doute bien ambitieux, peut-être rêveur. Nous verrons.

La page d’édition de la première année du « Journal public » (juin 2014 / septembre 2015) a été améliorée, afin que les nouveaux lecteurs puissent s’y repérer plus aisément. Elle comprend donc désormais, en tête du fichier publié, une table des matières qui fournit les dates, les thèmes et les pages des différentes entrées.  Lire la suite

Les 12 et 13 février 2016, j’ai participé à deux journées passionnantes à la Goethe Universität de Francfort (Allemagne) : le colloque « Theatre of the A-human », organisé dans le cadre d’ l’Institut fur Theater, Film und Medienwâissenschaft par Nikolaus Müller-Schöll, Matthias Dreyer (Frankfurt) et Esa Kirkkopelto (Helsinki). Lire la suite