Ci-dessous, les entrées du « Journal public », classées en ordre inversé, de la plus récente à la plus ancienne.

19.02.23 Je ne fais pas un grand usage du mot « croire ». Et moins encore de toute déclaration affichant que je « suis » quelque chose comme « croyant ». Pourtant,

17.11.22 (Les Appels nocturnes, 22. Bien nocturne, celui-ci, entre 2h et 3h. Mais d’autres aussi.) Le mot « transcendance » est un peu agaçant. Sa forme lourde, vaguement spéculative, et surtout son usage à tout bout de champ (y compris par moi) pour désigner ce qu’on ne sait pas dire, font que j’aimerais bien trouver un autre […]

17.10.2022 (Une pensée pour Alexis Leprince) J’aime Balotelli. Rarement consommateur du spectacle des sports, en particulier télévisé, aujourd’hui j’aime Balotelli. Pourquoi ?

17.10.2022 En 1981, paraissait un nouveau livre de Cornelius Castoriadis [1], intitulé Devant la guerre, 1. Les réalités. Cet ouvrage marque un moment très particulier dans la production du philosophe. En effet,

(Les Appels nocturnes, 21) I.  1. Comme on a pu le lire dans ces colonnes, je désigne ce dont il est question dans ma quête ou mon enquête les plus profondes, comme relevant du sens [1]. J’ai préféré ce terme à tout autre,

Les Appels nocturnes, fragment 20. * N.B. Je rappelle qu’il me paraît souhaitable (- mais en suis-je vraiment sûr ?)  de prendre connaissance de ces « appels » dans l’ordre de leur rédaction, donc en commençant par les premiers (1 à 4) puis en suivant, si on le désire, leur ordre numérique. * Voici quatre articles (« de […]

Il n’y a qu’un seul problème politique sérieux – pour paraphraser Camus [1] – c’est l’avenir de la vie humaine. Mais il ne s’agit pas ici de suicide, tout au contraire.

Les Appels nocturnes, fragment 19. * Deux interprétations s’opposent. Pour l’une, Jésus de Nazareth était un être humain, intégralement humain, rien d’autre. Probablement une personnalité exceptionnelle, pour autant qu’on puisse en juger

Les Appels nocturnes, fragment 18. * Encore un matériau, pour une théologie à venir. Je me propose d’aborder un nouvel ordre de considérations, distinctes de celles que j’ai envisagées plus haut [1], qui tentaient d’explorer un dissentiment avec le nom « Dieu ».

[4 août 2022, suite. Voici la cinquième et dernière série de ces fragments. Comme précédemment, je me permets d’en recommander la lecture dans l’ordre de leur rédaction (et de leur publication dans le « Journal public », c’est-à-dire en commençant par les fragments 1 à 4, puis successivement les 5 à 7, les 8 à 10, les 11 à 13 […]